Les origines d'Ogam

Ogam est une jeune société, mais elle est l'aboutissement de 20 ans dans la communication en général, dont 15 dans la création et le référencement de site Web.

La préhistoire, le Web 1.0

Venant de la publicité et de la production audiovisuelle, j'ai souvent eu à produire des supports de communication pour des artistes, des compagnies, des sociétés de productions, des réalisateurs connus, des lieux (salles de spectacles, festivals,...).

Quand le Web est arrivé, c'est tout naturellement que j'ai créé les premiers « sites perso » d'artistes et de sociétés en complément de leurs traditionnels dossier de presse, dossier de prod, plaquette et autre vidéo démo,...
J'ai eu la chance de faire partie de ces tout-premiers « Webmaster 1.0 » d'avant 2000 !

La professionnalisation

À la naissance de ma fille en 2003, j'ai décidé d'arrêter l'intermittence pour devenir salarié et comme le Web était devenu une passion dévorante je suis entré à Toptechnology en temps partagé : intégrateur Html le matin, référenceur l'après-midi. Les compétences en référencement étaient rares à l'époque et j'avais pu faire valoir que mes sites étaient tous particulièrement bien positionnés. Entre temps, pour ne pas abandonner les artistes qui m'avaient confié leur communication, mais sans faire de concurrence à Toptechnology, je monte une association à caractère culturelle et à but non lucratif.

En 2009, Toptechnology est racheté par Linkeo, une webagency parisienne de dix fois sa taille. Ma première mission est d'intégrer tout le portefeuille Toptechnology dans le portefeuille Linkeo, tant commercial que technique, sachant que les modes de production et de maintenance (notamment hébergement) entre les deux sociétés étaient radicalement différents. Ce fut un succès.

Des clients aux attentes spécifiques

En parallèle, la même année, on me présente deux associés qui avaient misé toute leur communication dans un site « full Flash » et s'étaient retrouvés tout en bas des recherches Google, et par conséquence dans une situation financière très délicate. Comme quoi, être mal conseillé dans sa communication peut-être désastreux. La mission était de créer un site bien mieux référencé pour non seulement remonter, mais dépasser les concurrents. Ce fut chose faite avec un site d'une vingtaine de pages de contenus particulièrement bien optimisés et une bonne stratégie de back-link. Le site devint premier sur toutes les (nombreuses) activités de la société. Il passa en un an de 167 à 9500 visites mensuelles.

Suite à ce coup d'éclat d'autres sociétés ayant des soucis de référencement firent appel à moi. Des sociétés très impliquées dans la création et le suivi de leur site Web, aux demandes très spécifiques, fuyant les Web-agency généralistes et industrielles qui traitent aveuglément des centaines de sites par semaines. Le statut d'association culturelle n'était plus du tout adapté à ce nouveau type de client, j'ai profité de la création d'un nouveau statut de micro-entreprise pour devenir auto-entrepreneur.

Le changement de statut

À Linkeo, on m'adjoint la gestion de la totalité des noms de domaine (plus de 44000), la supervision de la relation clientèle du pôle opérationnel (toutes productions confondues) et une fois la migration et la dissolution du portefeuille Toptechnology terminées, la responsabilité du service référencement. Imaginez les heures de travail passées à Linkeo pour réaliser ces lourdes missions.... et les heures de travail passées à la maison pour mon activité d'auto-entrepreneur. Il fallait trancher, faire un choix. Ma fille avait grandi, je n'avais plus de raison d'être salarié, l'appel de l'aventure a été plus fort. Je décide de quitter Linkeo (six mois ont été nécessaires pour transmettre mes responsabilités à différentes personnes) pour me consacrer à mes clients.

Le choix du service et de la qualité

Mais depuis mes premiers « sites persos » des années 90, le Web avait radicalement changé. Fini les Webmasters capables de tout faire, de la maquette au référencement, du développement à la gestion des boites mail. Le métier s'est professionnalisé et chaque étape de production nécessite maintenant l'intervention de vrais spécialistes aguerris. Et parfois même, les professionnels d'un même métier peuvent avoir leurs spécialités : un graphiste spécialisé dans la mode, un autre dans l'industrie,...

Au bout de quelques mois d'indépendant j'ai vite compris que pour assurer un service irréprochable à mes clients il fallait m'entourer de très bons intervenants tous spécialisés dans leur domaines de prédilection. L'auto-entreprise n'est vraiment pas la solution idéale pour travailler en équipe, surtout pour des considérations contractuelles, comptables et commerciales.
C'est alors que je décide de passer en société : ainsi naquis Ogam.

La SAS Ogam est donc juridiquement une jeune société, mais elle est l'héritière d'une activité de bientôt 20 ans dans la production de support de communication et plus particulièrement dans la création de site Web.

Gildas MONJOIN,
à votre écoute et à votre service.